Soirée Zocato 1er février 2013

Beret oloronais et Jurançon personnalisé
Souvenirs : Beret et Jurançon

On est venu de loin, on a manqué de chaises et on s'est serrés vendredi dernier au siège de la Peña pour voir et entendre ZOCATO nous rassurer sur l'avenir de la corrida.

 

Le G10, la crise et ses conséquences dramatiques pour les organisateurs de corrida, pour les éleveurs et en particuliers les français et pour notre porte-monnaie, autant de sujets traités qui, s'ils n'ont pas totalement éclairé et rassuré l'auditoire attentionné, ont néanmoins apporté des réponses.

 

2012, bien a dit Vincent, les jeunes pousses ont bousculé les vieilles tiges et c'est prometteur pour 2013.

 

Questionné sur le «phénomène» José TOMAS, Vincent a parachevé son exposé sur le sujet par une phrase qui a marqué : « Il est peut-être celui, le Seul, qui insinue le chemin au Toro ! » . Inattendu non ?

 

Outre ses anecdotes croustillantes dont il nous a comblé avec sa façon terroir qui le caractérise, il nous a malgré tout rassuré sur le nombre des ours en vallée d'Aspe avec laquelle il cultive un lien familial non dissimulé et sur le poids des palombes qu'il a loupées dans ses Landes natales et qu'il a croisées du côté de Cuqueron à son grand désarroi (je cite).

 

La soirée s'est prolongée fort tard et si on a manqué de chaises, on a pas manqué de cette délicieuse paëlla dont nos Amis Cottet de La Ciboulette ont le secret.

 

Nous nous sommes séparés en se promettant de donner une suite à ces moments magiques que ZOCATO a conclu par une note d'encouragement :

 

« Jouez vos émotions, vivez vos émotions, vous ne vous tromperez jamais »

 

Pour la circonstance, l'habit de lumières offert par El Sorteo en 1998 à SEBASTIEN CASTELLA, remis à Oloron en présence de ZOCATO, était exposé. 

 

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Commentaires: 2
  • #1

    Daniel (lundi, 04 février 2013 13:55)

    Pour rester dans l’ambiance de cette soirée déjantée, j’ai essayé de relever les défis de Zocato / toréer le buffet de la cuisine et déscabeller un bouchon avec un parapluie ! lol

    Le buffet n’a pas bougé …
    Il faut dire qu’avec ces cuisines intégrées, c’est plus difficile. Autant vouloir faire bouger la talanquère. Et n’ayant pas de linge basque mon torchon n’était pas rouge, mais blanc.

    Grande réussite avec une chaise.
    Il faut dire que le chat était couché dessus et qu’il a détalé, renversant le siège, devant cette posture étrange de son maître.

    Le parapluie : même pas la peine d’essayer.
    Il faut dire qu’avec mon parapluie pliant et mon strabisme, j’avais de gros handicaps.

    Bon, et vous ? Vous avez eu plus de chance que moi ?

    Remarquez, à mon âge, et avec mon physique filiforme, pas la peine de rêver d’un avenir de torero … je ne passerais pas au niveau du burladero !

    Pour redevenir sérieux, même pas une phrase, deux mots : Merci Zocato.

  • #2

    Maco (mardi, 05 février 2013 16:50)

    Mon cher daniel j’ai lu ton message au moment où je m’appretais à toreer mes 2 toros

    Le premier tres encastré mais avec une malacaste n’a rien voulu savoir.le 2eme etait un manso perdido au fond du sejour , muy complicado !.quand au bouchon je n’y suis pas arrive non plus car des que je m’elançais, le mouvement automatique m’empechait de voir quoique ce soit.

    Je pense qu’un entrainement serieux au sein de la pena s’impose.